Depuis deux ans, les travailleurs du savoir – y compris les nouvelles recrues – travaillent presque continuellement à domicile, du moins si leur fonction le permet. Récemment, cette période de télétravail obligatoire a pris fin. Un soulagement pour certains, un tourment pour d’autres. Selon Lode Godderis, il est important que les organisations se préparent au futur mode de travail : le travail hybride.

D’où vient le travail hybride ?

Nous nous en souvenons tous bien : en mars 2020, les portes des bureaux se sont soudainement verrouillées. Les travailleurs du savoir ramenaient chez eux leurs ordinateurs de bureau, leurs documents et autres équipements de travail pour – pensaient-ils – s’installer à leur table de cuisine pendant quelques semaines. Des semaines, des mois et même presque deux ans ont passé. Et pourtant, de nombreux travailleurs du savoir ont donné le meilleur d’eux-mêmes chaque jour, souvent à la même table de cuisine avec des outils limités. Il est grand temps que cela change.

L’impact du télétravail obligatoire

Des recherches menées par IDEWE montrent que le télétravail obligatoire et le mode de travail improvisé ont un impact sur le bien-être physique et mental. Par exemple, 55 % des travailleurs à domicile interrogés se sont plaints de douleurs dorsales et cervicales car ils ne disposaient pas d’un bureau ergonomique chez eux. Et 50 % se sont sentis épuisés parce que le temps passé devant l’écran a considérablement augmenté (pensez à toutes ces visio-réunions). La bonne nouvelle ? Tous ces problèmes peuvent être abordés et résolus. Un must pour les organisations qui veulent évoluer vers un mode de travail hybride.

Comment réussir le travail hybride

HP fait des recherches sur le bureau du futur depuis des années. HP est convaincu – tout comme Lode Godderis – que le travail hybride ne fera que gagner en importance. Employés et employeurs ont découvert récemment que l’on pouvait faire les choses différemment. Oui, certaines tâches peuvent être exécutées tout aussi facilement – ou peut-être même plus facilement – à la maison. Non, les embouteillages quotidiens pour aller et revenir du bureau ne nous manquent pas. En outre, nous aspirons tous à la flexibilité de pouvoir travailler n’importe où. Que ce soit à la maison, au bureau ou sur la route. Après tout, cela nous donne un sentiment accru d’autonomie. En tant qu’employeur, comment pouvez-vous faire en sorte que le travail hybride soit un succès dans votre organisation ?

Outils personnels

Il est important de veiller à ce que le travail puisse se faire en toute sécurité et de manière productive, quel que soit le poste de travail. À cet effet, une approche personnelle et des outils personnels – qui s’inscrivent pleinement dans les activités quotidiennes de chaque employé – sont indispensables. Par exemple, un mobile trailblazer tel qu’un gestionnaire de comptes bénéficiera d’un appareil léger tel que le HP Elite Dragonfly et d’un second écran portable. Un designer professionnel, en revanche, a besoin d’un appareil puissant comme le HP ZBook Studio et d’un grand écran supplémentaire. Tout revient à classer vos employés en un certain nombre de profils, également appelés personas. De cette façon, vous pouvez fournir à chaque persona les outils les plus appropriés. Vous voulez en savoir plus sur les personas possibles au sein de votre organisation ? Cliquez ici.

Reconfigurer le bureau

Le bureau, lui aussi, devra être aménagé différemment. Ce n’est plus le lieu de travail fixe où les employés travaillent huit heures par jour au même poste. Non, dans l’environnement de travail hybride, le bureau soutient le travail basé sur l’activité et se voit confier un nouveau rôle : celui des 8 C.

  • Connexion
  • Coaching
  • Co-création
  • Communication
  • Culture
  • Célébration
  • Cadre informel
  • Concentration

Les employés se rendront au bureau lorsqu’ils veulent ou doivent travailler ensemble et se rencontrer. Vous voulez en savoir plus sur le travail basé sur l’activité dans le lieu de travail hybride ? Lisez ceci.

Une culture de la confiance

C’est peut-être la dimension la plus difficile de toutes : passer d’une culture de contrôle à une culture de travail axée sur les résultats, où règne la confiance mutuelle. Dans une telle culture de confiance, c’est le résultat qui compte, et non le temps passé par quelqu’un sur un projet.